Une histoire de contact...


Quelques informations à titre indicatif concernant l'auteur de cet humble blog pourraient être de bon aloi, me direz-vous ? En effet.

L'auteur des bêtises que vous lisez à longueur de blog ici-présent se nomme Lucas Jacquet (rien de plus banal), et sévit essentiellement sur Alençon et ses environs.
Une façon simple de me contacter est de laisser un commentaire sur l'un des nombreux billets (ou pages) de ce site. Je réponds régulièrement, et mon profil blogger permet à qui le souhaite de m'ajouter dans ses contacts, ce qui est une autre bonne façon d'avoir des nouvelles de ce blog.

Les amateurs de photo apprécieront toutefois la précision suivante : je fais partie d'un club photo : le Club Photo de Courteille. N'hésitez pas à cliquer si vous souhaitez y faire un tour. Vous verrez, au jeu des photos artistiques, je suis un petit scarabée...

Les Alençonnais à l’œil exercé sauront me reconnaître dans la rue, malgré la ressemblance apparemment frappante entre votre serviteur et un journaliste de Ouest-France sévissant lui-aussi en ville. Une astuce simple pour faire la différence est de vérifier si la personne que vous voyez est en train de photographier une chose incongrue; si c'est le cas c'est probablement moi : mes expérimentations photographiques ont laissé dans les entrailles de mon ordinateur des milliers de photos étranges et quelque peu ratées.

 Citons pour la forme les deux blogs de mon père, l'un se nommant sobrement Le Blog du Lutin d'Ecouves (initialement sur Kikourou, un brave et honnête site de course à pied), l'autre se nommant tout aussi simplement Les photos du Lutin d'Ecouves. Vous y trouverez sur le premier pêle-mêle des récits de coureur à pied/traileur/marathonien, des bêtises et autres fadaises, des nouvelles, et de très instructifs billets sur la musique savante entre le Moyen-Âge et l'époque Baroque.
Sur l'autre se trouve quantité de photos de qualité supérieure prises par des petits appareils compacts, voire par de simples smartphones.

N'oubliez pas, enfin, que toute information que j'aie pu livrer sur moi-même est susceptible d'être romancée ou déformée au fil des billets selon les besoins de la narration; il ne faut donc jamais croire tout ce qu'on lit, même s'il s'agit d'informations frappées du sceau de la vérité.

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